DIY Photomaton 2/4 – DNP DS620
Créateur(s): https://www.notion.so/Natha-l-Verdier-f6f84817048a4a37a6d16adde06babeb
Création: Nov 5, 2020 1:13 PM
Domaines: Article, Evénementiel, Maker, Médias, Web
Excerpt: Aujourd’hui, déballage de la DNP DS620, l’imprimante à sublimation thermique que nous allons utiliser dans le photomaton !
Identité: https://www.notion.so/NGC-Studio-f2035fd91ee242d79facb887676e5768
Image: https://www.ngcstudio.fr/wp-content/uploads/2017/06/NGCVlog45.jpg
Lien: #
Mise à jour: Nov 10, 2020 3:26 PM
Notion Url: https://www.notion.so/ngcstudio/DIY-Photomaton-2-4-DNP-DS620-2dc602658bf94a839d04de536baf652d
Projet: https://www.notion.so/NGC-Vlog-3ba8894505294e5786203edc35748a2e
Publication: Jun 20, 2017
Statut: Publié
Support: WordPress
Type: Article
Visibilité: Public
Bonjour ! Nous revoilà pour l’épisode 2 du Photobooth !
Alors quelques petits changements. J’ai opéré des modifications dans la configuration et le matériel, mais nous en parlerons dans l’article suivant.
Une imprimante professionnelle
La première chose dont on a eu pas mal à se soucier était de l’imprimante.
Pour sortir un Photobooth totalement autonome à un client, il faut avoir une capacité d’impressions importante. Au moins plus d’une centaine de photos grand minimum, sans que le client ait à rouvrir le boitier pour la recharger L’idée, c’est qu’elle soit totalement autonome, et que durant toute une soirée, on ai pas trop à se soucier du papier. Dans la première partie je m’étais plus orienté sur des petites imprimantes du style les petites Canon portables. Ce sont des petites imprimantes à sublimation thermique. Le problème sur ces petites imprimantes, c’est que les cartouches sont trop petites : 15-20 photos maxi.
Il fallait donc se diriger sur les imprimantes professionnelles.
Les imprimantes à sublimation thermique, avec papier en rouleau. La sublimation thermique, c’est un procédé d’impression qui permet de gérer bien mieux les fournitures, puisque le papier et l’encre sont liés l’un à l’autre. Grossomodo, il y a un rouleau de papier et un rouleau d’encre, en 3 couleurs, qui ensembles font, par exemple, 400 photos. Pas de surprise, au contraire des systèmes de cartouches, ou la consommations d’encre est différente pour chaque photo.
La sublimation thermique
Une impression qu’elle est pas pareil que les autres différentes
Dans votre imprimante à jet d’encre – celle que vous avez probablement chez vous – vous avez des cartouches d’encre qui se déplacent au dessus de la feuille, avec des têtes d’impression, qui permettent de déposer de l’encre sur une feuille de papier, ligne par ligne. Pour la sublimation thermique, le procédé est un petit peu différent. Nous avons d’un côté le rouleau de papier, et de l’autre, le rouleau d’encre. Dans l’imprimante, un procédé viens chauffer le rouleaux d’encre point par point et ligne par ligne. L’encre devient plus ou moins liquide sur les points chauffés, et se dépose sur le papier. Les 3 couleurs sont déposées l’une après l’autre avec ce procédé, et une couche de vernissage viens fixer le tout. C’est l’imprimante qui découpe ensuite la photos sur le rouleau.
DNP DP-DS620
Après pas mal de conseils, de recherches, j’ai fini par me diriger vers une imprimante pro.
Elle augmente pas mal le budget, mais elle a le gros avantage d’avoir des rouleaux d’impression qui permettent de faire un peu plus de 400 photos. Nous avons opté pour une DNP DP-DS620. Commandée chez Arc en Ciel 77, livrée en 3 jours, avec pack de rouleaux, soit 800 photos. L’équipe est très sympathique et réactive, et les tarifs corrects. Si le photomaton tourne un peu, il nous faut un fournisseur de confiance sur une référence suivie : aucuns soucis avec eux :).
Gros avantage de plus : le temps d’impression.
Sur les petites imprimantes portables, on est aux alentours de 45 secondes/1 minute pour imprimer une photo. Sur cette imprimante, on tombe à un peu moins de 14 secondes par photo.
Cette imprimante vaut aux alentours de 1300 euros TTC. Le kit pour 800 photos coûte aux alentours de 90 euros. Ce qui nous fait un coût de revient par photo aux alentours de 11 centimes. Le papier est garanti par DNP pour une durée de vie de plus de 100 ans. On devrait être plutôt tranquilles.
Dans la boite
- Alors là on a un bout de plastique noir
- Deux bouts de plastique noirs circulaires avec un trou au milieu.
- Un manuel d’utilisateur. 10 langues, incroyable non ?
- Un câble d’alimentation
- Un morceau de carton inutile
Le morceau de plastique noir du début, c’est un repose papier.
L’imprimante m’a l’air beaucoup moins large et profonde que ce que je pensais. Et ça m’arrange parce qu’au final c’est elle qui va déterminer la taille du boîtier de notre Photobooth.
Mise en marche
On va attaquer quand même le gros du sujet : la mise en marche.
A vrai dire on ne sait pas du tout comment ça se monte ! Pour une fois je ne me suis pas du tout documenté sur l’imprimante avant de la recevoir.
Oh putain j’ai réussi à ouvrir l’imprimante.
Ya toutes les explications dessus !
Simple !
Il faut mettre un rouleau de papier là, un rouleau d’encre là. Et puis voilà !
Nous on aura juste à faire une petite fente au niveau de la sortie photo.
On a commencé à faire des plans en 3D pour le boîtier, mais nous en reparlerons dans le prochain épisode, puisque celui-ci est consacré à l’unboxing de la DNP DS620.
Elle me plaît cette imprimante.
Il y a quelque chose qui se passe. Bien belle bête.
Montage des rouleaux
Alors après que Toto nous ai gentiment monté le papier et la bande d’impression, on a juste eu à télécharger les drivers sur le Mac, brancher l’imprimante en USB, et nous sommes sur le point de réaliser la première impression ! Naïvement, on va faire comme si de rien n’était, l’imprimante est ajoutée. Donc on va directement aller dans l’onglet impression de Lightroom.
Conclusion
On a fait pas mal de tests, les impressions sont cools !
Au niveau du temps d’impression j’étais parti sur 14 secondes. J’avais vu ça quelque part, mais au final on est plus aux alentours de 10 secondes, ce qui est très bien ! Je pense que j’essaierai de regarder sur les drivers : j’aimerai bien arriver à faire non pas des 10×15, mais plutôt des 5×15, en des strips, forme vraiment photomaton.
Prochaine épisode on se retrouve pour parler du software, des changements qu’on a fait au niveau de l’ordinateur, de l’écran, tout ça.